Qu’est-ce que la technologie des cartes à puce ?

La technologie des cartes à puce consiste à rendre intelligent un petit morceau de carte rectangulaire. Ces cartes sont suffisamment petites pour tenir dans votre portefeuille ou vos poches arrière. D’ailleurs, c’est là que vous pouvez voir la première commodité qu’elle offre.

Des banques, des entreprises, des sociétés commerciales et d’autres institutions utilisent des cartes à puce à des fins différentes. Elles peuvent être de taille différente, mais elles ont toutes un point en commun : la technologie qui les alimente.

Cette technologie intelligente permet aux utilisateurs de stocker des informations spécifiques et uniques.

Comment sont construites les cartes à puce ?

Comme l’explique ce fabricant de cartes à puce, le processus de fabrication de ces circuits intégrés que sont les cartes à puce implique quatre étapes de base : la conception, la fabrication, l’encodage et le chargement des données.

• La phase de conception

Il s’agit de la première étape qui oblige le concepteur ou le programmeur à attribuer une taille de mémoire à la puce, à spécifier la vitesse d’horloge, les types de mémoire volatile et le système d’exploitation. Cela nécessite également que le programmeur crée un logiciel d’application pour la carte, tout en spécifiant le type de carte et toutes les autres fonctionnalités qu’il souhaite inclure sur la carte.

• La fabrication de puces

Dans cette deuxième phase, la puce de silicium est fixée sur la carte et est attachée aux connecteurs avec des câbles de raccordement. Cela se fait donc de deux manières : soit en les soudant, soit en les collant. La puce est ensuite scellée avec une résine époxy et collée directement sur le substrat de la carte. Le substrat utilisé dans ce cas est le plastique, qui peut être du chlorure de polyvinyle (PVC) ou tout autre plastique synthétique.

• Le codage

Il s’agit d’une étape sur laquelle se reposent les bases de la fonctionnalité de la carte. Les codes sont alors entrés dans la mémoire de la puce selon un processus spécifique.

• Le téléchargement des données

C’est l’étape pendant laquelle les données personnelles de l’utilisateur prévu sont chargées sur la puce mémoire

Pour entretenir un lien « personnel » avec les habitants

Actuellement, internet constitue le meilleur canal de communication entre les collectivités et leurs habitants. D’ailleurs, beaucoup de Mairies possèdent déjà des sites internet et des pages sur les réseaux sociaux.
Mais malgré l’existence de ces plateformes en ligne, l’application pour les collectivités est la plus recommandée pour entretenir avec les habitants un lien plus rapproché. En effet, les sites et les pages proposent des renseignements généraux, susceptibles d’intéresser tout le monde. L’application quant à elle, fournit des informations spécifiques, demandées expressément par l’utilisateur au moment précis où il en a besoin.

Pour accompagner le citoyen en temps réel

Créer une application pour sa ville, c’est offrir aux citoyens un accompagnement personnel, en temps réel et en continu. Les éditeurs d’applications présentent en effet de nombreuses fonctionnalités utiles au quotidien pour les habitants (et même les visiteurs)
On peut citer en premier lieu la météo et les actualités, des basiques sur ce genre d’outils. Une fonctionnalité Mairie donne également accès à toutes les informations pratiques à propos des horaires, des divers services et de tout ce qui facilite les démarches au niveau de cet appareil administratif.
D’autres fonctionnalités sont indispensables sur une application pour la ville :
– Transport
– Emploi
– Réseaux sociaux
– Signalement
– Sondages
– Cantines
– Commerces
– Etc.

Pour faire des économies budgétaires

Une application pour les villes et collectivités réduit le budget de fonctionnement de la commune de manière non négligeable.
Avec les smartphones qui font partie intégrante du quotidien des citoyens, l’application est directement à leur portée. Les municipalités peuvent donc réduire le budget prévu pour des canaux de communication plus couteux. C’est notamment le cas des flyers et autres prospectus traditionnellement distribués pour informer les citoyens. En effet, l’application est un canal d’information permanent et spontané. Et bien entendu, les alertes ne se limitent pas à la météo, aux actualités, aux rappels d’événements, etc. Elles sont également essentielles en cas d’urgence.
L’essentiel du budget à prévoir dans ce genre de projet va donc à la création, à la présentation et à la promotion de l’application. Une fois installée sur le smartphone des habitants et des visiteurs pouvant en avoir besoin, l’application ne demande plus de charges conséquentes pour la commune.
Lancer une application mobile pour les villes devient indispensable de nos jours. Évidemment, il n’est pas question d’utiliser le même outil dans toutes les collectivités. Chaque commune peut demander une application sur-mesure, en fonction de sa configuration. D’ailleurs, ces outils ne se limitent pas aux villes « classiques » Des zones particulières, notamment les stations de sports d’hiver, peuvent aussi y avoir recours.

Pourquoi faut-il connaître ce type de langage ?

Les SMS sont des moyens de communication très pratiques et très rapides qui s’utilisent au moyen d’un téléphone. Aussi appelés textos, ces derniers permettent d’envoyer des messages très brefs à d’autres personnes. Cependant, par bref, le message doit aussi être clair pour que le destinataire puisse le comprendre. Du fait de cette utilisation et de cet objectif de message court et clair, les utilisateurs de SMS ont inventé des langages spécifiques pour envoyer des textos. Si pour les jeunes et les ados, ces langages sont courants et se comprennent facilement, pour les adultes, ils sont assez difficiles. D’où le besoin de les connaitre et de les comprendre. Ces derniers doivent également, être en connaissance des langages SMS pour éviter de prendre ou de perdre du temps à l’écriture d’un message. Cela permet aussi de renvoyer rapidement une réponse claire. Ces langages sont également utiles étant donné que sur le contenu d’un SMS, vous serez limité dans le nombre de caractères que vous pouvez envoyer. Généralement, la limite est de 160 caractères. De ce fait, on essaie au maximum d’abréger la forme d’un mot pour gagner en nombre de caractères.

Les langages les plus utilisés

Le principe des langages SMS c’est d’abréger au maximum le contenu du message, mais en y intégrant le plus d’informations. De ce fait, on doit utiliser des abréviations de toutes sortes qui peuvent utiliser des majuscules, des minuscules, des chiffres ou encore des smileys pour dire quelque chose. Dans ce cas, la formule la plus basique c’est que tous les « s » et les « e » en fin de mot, vont disparaitre. Le but c’est de faire comprendre le mot comme si on le disait. Par exemple, on écrira « pa » au lieu de « pas », sur un texto, ou encore, « pass » pour « passe ». Il est aussi possible d’utiliser l’intonation des lettres pour éviter d’écrire le mot en entier. Par exemple, au lieu de dire « rater », on utilise « raT ». Une autre technique c’est l’usage des lettres principales d’un mot comme « bcp » pour « beaucoup » ou encore, « vmt » si on veut dire « vraiment ». D’autres exemples usuels comme « pr » qui veut dire « pour », « tt » pour « tout », « longtemps » qui devient « lgtps » ou encore, « mdr » pour « mort de rire » sont aussi très utilisés. Pour ce qui est des langages phonétiques, vous utiliserez L pour dire « elle », M pour « aime », 2 si vous voulez écrire « de », C pour écrire « c’est » ainsi que « ces » et « ses » et ainsi de suite. On peut aussi abréger le contenu en utilisant l’anglicisme, comme « now » pour « maintenant » ou « today » si vous voulez dire aujourd’hui. Et enfin, afin d’exprimer vos sentiments, les smileys sont là. Vous en avez différentes formes sur votre clavier. Il suffit de chercher l’icône d’une petite tête qui sourit pour trouver les différentes émotions qu’on peut exprimer à travers le contenu d’un texto. Vous aurez aussi besoin de quelques exercices avant de réussir à comprendre et à utiliser ces langages efficacement.

Les connaissez-vous ?

Avec l’avancée de la technologie, les pirates informatiques, eux aussi, progresseront de leur côté pour voler, voire détruire informations bancaires, identité, etc. Les grandes entreprises, et même celles de moyenne et de petite envergure maintenant, mettent en place tout un service rien que pour protéger leurs données professionnelles, confidentielles. Mais ce qui peut aider les entreprises à mieux mettre à l’abri ces précieuses informations, c’est de connaître les moyens de piratage les plus fréquents. C’est le cas des logiciels malveillants qui sont cachés dans les logiciels de téléchargement en général. Mais ils peuvent être cachés dans les clés USB aussi, mais dans tous les cas, comme son nom l’indique, leur but, c’est de saper un système informatique. Pour s’en prémunir, deux méthodes : ne connectez jamais une clé USB inconnue sur vos appareils et n’installez que des logiciels de sources sûres.

Les faux sites internet et le vol de mot de passe

Un moyen de piratage très courant, ce sont les faux sites internet. Le problème, c’est qu’ils imitent à la perfection les vrais sites internet. Comme vous pouvez vous en douter, ils sont là pour recueillir vos données confidentielles, notamment bancaires et identitaires. Ce peut être des sites administratifs (qui donnent souvent confiance, pensant que cela vient de l’administration ou du gouvernement), des boutiques en ligne ou autres. Comment vous en protéger ? Veillez à toujours vérifier chaque site si son nom commence par « https ». C’est là seulement que vous pouvez saisir vos données de paiement et votre mot de passe. Autrement, aussi attrayant que soit un site mais dont le nom ne commence pas ainsi, évitez-le ! Il arrive souvent aussi que les pirates informatiques se servent de logiciels conçus pour chercher, et trouver, votre mot de passe. Ces logiciels essaient toutes les combinaisons possibles pour cela et parfois, ils utilisent vos données sur les réseaux sociaux. Aussi, pour les bluffer, faites en sorte que votre mot de passe soit le plus complexe possible, ayez-en un différent pour chaque compte, mettez à jour régulièrement votre antivirus.

Les faux réseaux wifi aussi…

C’est lorsque vous êtes dans un lieu public que vous risquez de vous connecter à un faux réseau wifi. Donc, ayez pour principe de ne jamais vous connecter à moins que vous ne sachiez exactement d’où provient le réseau en question. Si vous êtes dans un bar, demandez au responsable si le wifi est bien le leur, de même si vous êtes dans un magasin, etc. Si vous avez une confirmation, ne faites jamais de mise à jour et na faites jamais d’achat via ces réseaux publics. Et surtout, évitez de vous rendre sur des sites sensibles telles que votre banque, votre compte e-mail, etc.

Les rencontres physiques sont meilleures que les virtuelles

Pour agrandir votre réseau pro, pensez à utiliser les réseaux sociaux tels que Twitter et Facebook ainsi que les réseaux professionnels Viadéo et LinkedIn. Ce sont des accélérateurs de réseaux parfaits pour booster le vôtre. Bien que les rencontres virtuelles jouent un grand rôle dans le développement de votre réseau pro, rien ne vaut les rencontres physiques. La portée et l’impact du contact réel sont de loin supérieurs à toute communication en ligne. Vous pouvez davantage inciter un entrepreneur à rejoindre et soutenir votre groupe lorsque vous êtes face à lui, les yeux dans les yeux. Donc, autant que possible, demandez un rendez-vous si vous avez la carte de visite de vos pairs ou assistez aux apéros des professionnels et à d’autres occasions similaires. Vous pourrez alors parler directement avec des entrepreneurs qui sont probablement dans la même situation que vous. Discutez de vos problématiques et des solutions que vous avez envisagées, partagez vos expériences, vous aurez plus de chances de faire croître votre réseau pro et de là, faire progresser votre business.

Est-ce que le réseautage est vraiment important pour votre carrière ?

Que vous soyez un entrepreneur en quête de nouveaux clients, quelqu’un qui cherche à se reconvertir ou tout simplement à la recherche d’un emploi, le fait d’avoir votre réseau pro personnel augmente vos chances de vous faire connaître et d’atteindre vos objectifs. Pour votre carrière actuelle ou future, il est donc fondamental de vous constituer un réseau pro solide et de tout faire pour l’agrandir. Les conseils sur https://entreprendre-avec-julien-foussard.fr/ donnés par Julien Foussard, un entrepreneur très connu et qui a réussi, peuvent également vous apporter beaucoup. En effet, dans ses différents articles et blogs, il conseille sur l’importance d’étoffer votre carnet d’adresses, sur les stratégies à adopter pour lancer un nouveau business, pour une éventuelle levée de fonds, la recherche de partenaires, etc. Surtout, il aide les entrepreneurs à comprendre à quel point le réseautage est vital pour progresser et faire aboutir leurs projets.

Un métier requérant de la polyvalence

Un chef de projet digital est à la fois un professionnel en technique web et un passionné de marketing. Il doit être polyvalent puisque son métier requiert des connaissances techniques approfondies (architecture technique SI, outils web, etc.), et aussi des compétences en management, en marketing, en relations publiques et en service client. Il doit maîtriser également la gestion budgétaire, financière et économique. Ceci, afin qu’il puisse élaborer, optimiser, et suivre un budget. Une connaissance de la langue anglaise aussi est indispensable. Il doit être capable de converser en anglais et maîtriser les différents vocabulaires techniques en anglais. Vous verrez sur le web des magazines en ligne qui font découvrir les différentes activités d’un chef de projet digital et l’évolution du métier.
Le chef de projet digital peut également être appelé consultant digital ou encore chargé de communication digitale. Il peut travailler au sein d’une entreprise, d’une agence de communication ou d’une SSII.

Les missions d’un chef de projet digital

Les activités pouvant être confiées à un chef de projet digital peuvent varier selon la structure qui fait appel à ses compétences. En général, ses fonctions principales consistent, en premier lieu, à formaliser les besoins éditoriaux de son client. Il se charge aussi de la création et de la définition de la stratégie et de la politique de communication sur le web de ce dernier. Puis, il anime et gère les contenus diffusés sur les différents médias : sites web, plateformes sociales, forums, etc. Il propose aussi à son client des solutions afin d’exploiter au mieux les nouvelles technologies et les médias en ligne. Coordonner les différents prestataires chargés de mettre en œuvre la stratégie de communication digitale établie fait aussi partie de ses missions.

Les entreprises investissent dans la cybersécurité

Selon cette étude menée auprès de 19 000 spécialistes de la sécurité informatique, 1,8 million de salariés en cyber sécurité devraient manquer dans le monde d’ici 2022. Il faut dire que les offres d’emploi IT sont en constante évolution au niveau des entreprises. Celles-ci souhaitent en effet investir de plus en plus dans la protection de ses infrastructures digitales et de ses données. Un tiers des managers désirent augmenter leurs effectifs IT de 15 % par an. Pour postuler à un poste IT, découvrez les offres d’emploi IT sur des sites comme elitegroup-recruitment.com. Les employeurs sont prêts à recruter massivement dans ce domaine. Ils seraient d’ailleurs plus de 70 % à vouloir étoffer leurs équipes techniques. Cette nouvelle tendance est bien entendu une conséquence directe de la multiplication des attaques virtuelles à travers le monde. Si celles-ci ne visaient auparavant que les grands groupes, force est de constater qu’elles ciblent de plus en plus les PME. Il faut dire que ces sociétés ont rarement les moyens de sécuriser correctement leurs données.

Prendre le train en marche

Pour les experts IT qui se sont spécialisés dans la cybersécurité, le contexte actuel constitue une opportunité. À noter cependant que les entreprises qui souhaitent recruter exigent un minimum d’expérience professionnelle. Si vous désirez prendre le train en marche, pensez ainsi à multiplier les stages avant de postuler pour des offres d’emploi IT en vue d’un travail à plein temps. Vous pouvez également suivre des formations si vous êtes un technicien aguerri, mais avec un profil sénior. Elles vous permettront de prouver que vous êtes encore efficace et que la technologie ne vous a pas dépassé.

Le design du site

Selon les études, environ 9 consommateurs sur 10 considèrent le design d’une boutique en ligne comme un facteur influençant leur décision d’achat. Si le site ne les séduit pas visuellement, ils n’hésiteront pas à fermer l’onglet pour passer vers un autre site. Pour réussir votre business en ligne, accordez ainsi une attention particulière à l’apparence visuelle de votre site. Ceci doit créer l’effet « waouh » et inciter l’attention de vos visiteurs dès le premier regard. Pour donner du peps à vos pages, vous pouvez y ajouter des animations, des vidéos de présentation de vos produits, ou encore y créer un effet de parallaxe pour impressionner vos visiteurs.

La facilité d’utilisation du site

Avoir un joli design web est important. Mais, cela ne suffit pas. Votre site doit également être facile à utiliser et fonctionnel si vous souhaitez augmenter vos ventes. Vos visiteurs doivent rapidement y trouver ce qu’ils recherchent. Ajoutez-y de jolis boutons bien visibles de call-to-action. Si vous proposez divers produits, créez des catégories différentes pour les classer. Pensez aussi à ajouter sur votre site une barre de recherche qui redirigera rapidement vos visiteurs vers une page spécifique selon le type de produit qu’ils recherchent.

Le temps de chargement du site

Les consommateurs de nos jours veulent obtenir tout de suite ce qu’ils recherchent. Plus de 6 acheteurs sur 10 déclarent ne pas pouvoir attendre plus de 3 secondes le chargement d’un site. Si votre site met alors du temps à s’afficher, vos visiteurs vont l’abandonner immédiatement. Pensez donc à alléger votre site afin de diminuer son temps de chargement. Pour ce faire, vous pouvez, par exemple, utiliser pour vos images des formats compressés qui sont plus légers.

Les options pour le paiement

Les options de paiement représentent un des facteurs d’abandon de panier. En laissant à vos clients choisir le moyen de paiement qu’ils souhaitent utiliser pour régler leurs achats, vous augmentez vos chances de réaliser des ventes. Si possible, multipliez les options de paiement que vous proposez : cartes bancaires, Paypal, chèque, etc.

La livraison

La livraison est un autre facteur qui peut freiner l’achat sur votre boutique en ligne. Plus de 6 acheteurs sur 10 considèrent même que c’est le premier critère pour le choix d’un site e-commerce. Environ 60 % des consommateurs abandonnent leur intention d’achat à cause du manque d’options de livraison. Il est donc important de proposer à vos visiteurs une solution de livraison efficace. Vous avez le choix entre les prestations de livraison classique proposées essentiellement par La Poste et son service Colissimo. Si cela vous intéresse, vous pouvez voir les tarifs sur ce site. Ensuite, il y a les prestataires de livraison express. La Poste propose aussi ce service avec son service Chronopost. Il y a également les transporteurs privés comme Fedex, TNT, ou encore UPS. Pour retenir tous vos acheteurs, il est préférable de leur proposer plusieurs modes de livraison. Ainsi, ils peuvent choisir facilement la solution qui leur convient le mieux.

Quelques compétences de base à connaitre

Un infographiste est de préférence un artiste né. Certes, quelques logiciels multimédias sont disponibles sur la toile et peuvent aider à améliorer la qualité des flyers et affiches. Néanmoins, avoir le sens de la mesure et un minimum de créativité est nécessaire pour débuter dans ce métier. Ainsi, il serait plus judicieux d’effectuer une formation dans le domaine. Cette formation peut être utile aussi bien pour cerner les bases de l’infographisme 3D que pour cerner et mettre à profit les différentes fonctionnalités des logiciels comme PAO, Photoshop, Gimp, Paint, et bien d’autres. Heureusement, poussées par une tendance à l’autodidaxie, les formations à distance sont de plus en plus nombreuses actuellement. Pas besoin d’aménager outre mesure son emploi du temps pour devenir un infographiste 3D. Cependant, les cursus suivront tout de même un référentiel national et permettront aux étudiants d’obtenir un diplôme homologué.

Les diplômes nécessaires pour devenir infographiste

Mis à part les perfectionnements en logiciels de traitement d’image et multimédias, il y a quelques diplômes que les aspirants infographistes doivent avoir. Pour commencer, le CAP en communication graphique. À cela, on peut ajouter le BEP en communication et en opération infographiste multimédia. Le cas échéant, il est également possible de s’inscrire pour une formation dans le métier infographiste avec un bac pro dans l’artisanat ou métier d’Art, voire une BMA en graphisme et décor. La durée du cursus universitaire afin de devenir graphisme dépend de chacun. Un diplôme BTS est délivré à la fin des études, soit après 2 à 3 ans de formation.

Qu’est-ce que le Wifi 4G ?

La 4G est un standard de téléphonie mobile. Il s’agit d’une quatrième génération de la technologie de communication sans fil. La vitesse de transmission des flux hertziens est nettement plus importante comparée à celle des versions précédentes. Théoriquement, il sera question de débit 1 Gbit/s. Quoi qu’il en soit, la technologie Wifi 4 s’appuie sur les ondes radio et utilise généralement les bandes de fréquence 800 MHz, 1800 MHz et 2600 MHz. En d’autres termes, c’est une autoroute à péage avec multiples voies puisque l’accès demande un code.

Rappel sur l’utilité d’un routeur 4G

Le Wifi 4G désigne la technologie sans fil tandis que le routeur 4G indique l’appareil qui permet d’émettre les ondes dans un rayon donné. Grâce à ce boitier pourvu d’une ou plusieurs antennes, tous les appareils compatibles au protocole Wireless Fidelity 4G pourront se connecter à Internet. Avec la quatrième génération de routeurs, il est possible de se connecter avec différents terminaux et toujours jouir d’une vélocité appréciable. Normalement, avec un routeur 4G, regarder une vidéo HD en streaming tout en utilisant Skype et Facebook ne posera aucun souci avec l’ultra haut débit.

Derniers conseils pour adopter le nouveau Wifi de qualité

Bien qu’il soit récent, le Wifi 4G est accessible à tous les budgets. Cela dit, il convient d’opter pour des appareils à triples bandes pour disposer d’un meilleur confort d’utilisation. Avec le nouveau Wifi de qualité supérieure, le terme autoroute de l’information prend tout son sens puisqu’il n’y a aucun embouteillage possible. Parmi les leaders dans ce domaine, vous pourrez noter les marques TP-Link, Huawei, Netgear et Asus. Pensez à vérifier la connectivité puisqu’une liaison filaire vous sera indispensable de temps à autre.