Il arrive très souvent que les employeurs proposent des contre-offres aux salariés qui souhaitent quitter l’entreprise. Des offres souvent tentantes si bien qu’on se sent un peu d’oser ne pas l’accepter. Pourtant, accepter une augmentation de rémunération ou une prise de galon peut être une mauvaise décision. Voici quelques arguments.
Pourquoi maintenant ?
Cette question nous vient forcément en tête lorsque les employeurs proposent une contre-offre alors que nous sommes sur le point de faire notre bagage et de commencer une toute nouvelle carrière dans une nouvelle boîte. Pourquoi est-ce qu’on ne reconnaît notre valeur que lorsqu’on a pris la décision de partir ? Pourquoi nos employeurs ne nous ont pas fait part de leur intention plus tôt ? C’est quand même assez étrange que ses qualités et ses valeurs ne soient reconnus qu’à ce moment-là.
La première opportunité est souvent la bonne
Après avoir travaillé pendant de longues années au sein d’une entreprise, on a décidé de mettre à jour notre profil sur les différentes plateformes de réseaux sociaux professionnels. On alors a une belle opportunité de travail qui se présente devant nous. Pourquoi ne pas la saisir si on a été choisi par les recruteurs parmi les nombreux autres candidats ? En plus, La deuxième offre qui pourrait nous être présentée est généralement moins intéressante que la première.
Le doute s’est déjà installé
Le fait que nos employeurs savent qu’on a déjà eu l’intention de quitter leurs entreprises pour une autre pourrait être une porte qui laisse entrer le doute dans son esprit. L’idée que nous pourrions encore lui refaire le coup pourrait leur perturber. Par conséquent, ils peuvent nous proposer une meilleure poste ou des salaires plus importants, mais nous serions mis à l’épreuve (si bien qu’on a l’impression de se retrouver de nouveau à la période d’essai). En plus, il existe certaines personnes qui mentent sur le sujet. Ils utilisent tout simplement l’opportunité extérieure comme étant un moyen de négocier en interne, pourtant ils ne sont même pas attendu quelques parts.
À propos de l’auteur